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LA POLITIQUE DE WORDPRESS NOUS INCITE TRÈS LOURDEMENT A PAYER AFIN D’AVOIR UN BLOG PERFORMANT. EN CONSEQUENCE, DEPUIS PLUSIEURS SEMAINES, DES PUBLICITÉS PLUS QU’INTRUSIVES APPARAISSENT SUR LES « ÉCHECS SANS PEINE » POUVANT CERTAINEMENT EN GÊNER LA LECTURE. N’HÉSITEZ PAS A USER DE BLOQUEURS DE PUBLICITÉS (ORDINATEURS ET PORTABLES). AFIN DE RÉDUIRE CE DESAGREMENT AU MAXIMUM. J’ESPERE NE PAS AVOIR A MIGRER PROCHAINEMENT.

Le titre de ce blog fait allusion à une méthode de langue, la méthode Assimil, vous promettant d’apprendre l’anglais sans peine. My cup is small but my doctor is good. Mein Tasse ist klein aber der Tee is kalt. Pour les amateurs d’Astérix, c’est : « Ma barque est petite mais elle est plus grande que le jardin de mon oncle » dans Astérix et les Bretons. Mais je m’éloigne du sujet  !

J’ai appris à déplacer les pièces approximativement vers 10 ans. Quelques années plus tard, collégien, je faisais l’acquisition du Guide Marabout des échecs de Frits von Seters dans lequel j’appris qu’il existait des ouvertures (sur lesquelles je passais ensuite beaucoup trop de temps aux dépends de la tactique) et des finales élémentaires ! Accessoirement, de la stratégie. Fréquentation assidue du « club » d’échecs au lycée, mais sans jamais pousser la porte  d’un vrai club jusqu’en 2018 (en gros 50 ans plus tard !). Entre deux : lectures de Max Euwe, Silman, Fine, Kotov et de divers auteurs.

Aux alentours de 2010, je suis tombé sur les articles de Dan Heisman (montrant qu’on peut parler échecs sans de longues analyses) ainsi que sur Chess Tempo. Du coup, je suis parti à la recherche de tous les conseils possibles afin d’améliorer mon jeu. Ce blog est donc né en juillet 2013. Autant pour centraliser toutes les informations glanées sur le net, et les retrouver facilement, que pour faire gagner du temps aux joueurs (autodidactes) dans la même démarche. Depuis, les articles de Dan Heisman ne sont plus accessibles sur Chesscafé (pas de lien, car site payant désormais, tant pis pour eux !), et ce dernier a également rendu payant l’accès à ses articles sur son propre site.  On peut toutefois le retrouver sur Chess.com

Alors sans peine, sans se fatiguer, les doigts dans le nez  ? Pas sûr, et pas aussi simple en tout cas, même si vous ne trouverez pas ici de longues analyses ou de présentations d’ouvertures censées mettre votre adversaire en PLS au bout de 10 coups. Mon but est clairement d’exposer les idées glanées sur Internet et les quelques bouquins à ma disposition.

Depuis novembre 2017, j’ai dépassé le stade de joueur occasionnel en intégrant un club, et en entamant tournois, Loubatière, et participation aux rencontres départementales et régionales. Je travaille encore plus de tactique, et je me suis plongé dans « Build Up Your Chess 1 », en français « Le bon du tigre 1 » (la traduction française laisserait à désirer selon Variante, d’où mon choix pour la version anglaise). Je m’étais promis un chapitre par semaine, mais on va plutôt dire tous les quinze jours. J’ai craqué à 2 chapitres de la fin du premier tome.

Beaucoup d’infos sont en anglais : livres, vidéos. J’espère en résumant et en traduisant certaines de ces ressources que je ne trahis pas l’auteur. J’espère surtout que cela permet aux non anglophones d’aborder des thèmes auxquels ils ne se seraient pas intéressés autrement.

Je suis preneur de tout commentaire constructif ! Un peu comme les vidéos qui vous demandent de liker, ou de cliquer sur des pouces, n’hésitez pas à donner votre avis et à mettre des étoiles sur les articles que vous avez lus. Mais surtout, si vous mettez 1 seule étoile, dites-moi ce que vous n’avez pas apprécié.

François

118 830ème joueur actif mondial

 

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3 Commentaires

  1. 1800 elo est accessible à tout le monde

     /  4 septembre 2015

    Bonjour.

    Voici un témoignage. Si cela peut enrichir votre site, pourquoi pas.

    De mon côté, il me paraît intéressant de parler de l’échiquier DGT, de l’entraînement, du sport, et autres passions que les échecs.
    C’est à dire qu’aujourd’hui, on en est plus à un savoir qui reste peu partagé comme il y a 50 ans.
    Clairement, il y a beaucoup de moyens d’entraînements :
    – site d’entraînements,
    – vidéos d’entraînements,
    – blogs,
    – forums,
    – les streaming d’entraînements,
    – les logiciels d’entraînements.
    Préciser qu’ici, il s’agit de matériel professionnel. Et que le contenu peut emmener dans des voyages intellectuels particulièrement variés, riches et profonds.
    Aujourd’hui, de plus en plus de joueurs n’achètent plus seulement un logiciel de jeu, mais aussi des logiciels d’entraînements.
    De plus en plus de passionnés regardent de plus près l’échiquier DGT, qui pour certains sets, sont au prix d’un smartphone haut de gamme.
    Jouer donne envie de s’entraîner.
    S’entraîner donne envier de jouer.

    Il n’y a plus aucune raison de faire de la « progression » un sacerdos paradoxal :
    – tout le monde dit qu’il faut progresser aux échecs. C’est une erreur car on présente les échecs par la progression comme un impératif.
    A nous de pas en faire un message subliminal.
    Si tant de gens disent qu’il faut progresser aux échecs, c’est que ca a été en même l’angle mort de ce jeu pour beaucoup de gens jusqu’à récemment.
    Et c’est ce qui détourne le plus de gens de ce jeu.
    Richard Réti le dit dans son livre de cours scientifique des échecs : à l’époque, les champions ne partageaient pas vraiment le coeur de leur fonctionnement pour éviter que leurs adversaires utilisent leur armes contre eux.

    – c’est encore plus paradoxal parce que depuis l’ADSL, les processeurs hyperpuissants des 10 dernières années, les révolutions s’enchaînent.
    Cela explique le rajeunissement des prodiges.
    Si cet âge diminue, c’est que les moyens d’entraînements se diffusent, se démocratisent, et sont efficaces.

    En même temps, ce n’est plus la même donne aujourd’hui dans les moyens.
    Mais il y a encore de cela dans les mentalités aujourd’hui.

    Plus aucun site/blog aujourd’hui ne devrait se limiter à
    – présenter les régles.
    – dire comment progresser.
    – Il serait intéressant de faire un tour d’horizon des moyens d’entraînements.
    – Il serait intéressant de faire un tour d’horizon des joueurs célèbres, avec quelques unes de leurs citations.
    – On exhorte beaucoup de gens à progresser.
    Beaucoup peuvent encore se dire : j’apprends les mats en 1, 2 3 4 coups. Mais après ?

    Voici une réponse :
    – Exos tactiques : Je travaille sur des positions que je sais que je trouverai pas.
    Je pose la position sur un échiquier. J’infuse la position dans ma tête.
    Même si j’y passe une semaine. Mon esprit s’imprègne de la position.
    J’écris ensuite ma réponse.
    Quand je lis la solutions, je bouge les pièces pour voir à chaque phase ce qui se passe, ce que je pourrais voir a posteriori.
    Je reviens à la position initiale et je rebouge les pièces dans ma tête.
    De ralentir, ca permet de rentrer.

    Même si je trouve pas, je peux m’aider d’un logiciel pour voir ce qu’il jouerait avec ma réponse.
    Et là, je peux essayer de comprendre ce que je n’avais pas vu.
    Les infos les plus simples sont déjà pertinentes :
    – une pièce que je laissais en prise.
    – les pièces restantes après un échange (échange à mon avantage ?)
    – un échec intermédiaire qui chamboule le calcul.
    – des cases interdites au roi.
    – un pièce en prise.
    Ces infos là, vont accompagner le joueur tout au long de ses entraînements.
    C’est la grammaire des positions tactiques.

    Les logiciels offrent un plus inédit : les annotations colorées.

    ou

    Une option d’entraînement dans le logiciel gratuit chessbase reader :

    Ici une source gratuite d’exos : http://tacticstime.com/tactics-time-download-page/

    Retravailler ses parties. Ce n’est pas forcément agréable rentrer dans cette activité :
    1) jouer une partie contre un processeur qui nous donne l’impression que l’on a 1 chance sur 100 de gagner.
    2) faire analyser la partie pour montrer les erreurs (copies d’écran à faire pour montrer comment ca marche).

    3) après analyse, il y a une forme d’organisation à faire sur ce genre de commentaire.
    En voici un exemple :

    Selon les commentaires, on s’aperçoit que c’est bien avant qu’il fallait réagir.

    Comment gagne-t-on ?
    Au minimum en tenant l’égalité face à son joueur, jusqu’à ce qu’il fasse une erreur.
    Face à un joueur plus fort, tenir l’égalité est un honneur.
    Comment on perd est une info précieuse. Parce que c’est aussi par ce chemin que l’on peut apprendre à ne plus perdre.

    J’aime bien me sortir quelques positions d’échecs de temps en temps. depuis deux ans, 2 à 5 fois par semaine, selon mes envies, mes obligations, les apéros avec les potes, le sport, le boulot, je me pose ma petite position sur l’échiquier et j’essaye de trouver la solution.

    Pour des exos plus simples, j’en fais un plus grand nombre. Et quand je ne trouve pas, je sais que c’est là que je ralentis.
    Quand ca résiste, c’est que ca rentre, sauf si je survole.
    A moi de me connaître. A moi de prendre le temps de me poser.

    Bien cordialement,

    PS :
    La question est plutôt :
    – comment un sportif vit son jeu d’échec et sportif,
    – comment un joueur de sudoku se projette dans les échecs et inversement,
    – comment un joueur de poker rentre dans le jeu d’échecs et inversement,

    PS 2 : dans un autre mail, je vous dirai pourquoi j’ai pris un DGT.
    Il faut déjà connaître le jeu, et aimer jouer régulièrement.
    Je joue 2 à 3 fois par semaine.
    Après 2 ans d’entraînements en tactique (même sur les chiottes, même quand on a surtout envie, même pour aller au boulot, même sur son smartphone pendant une file d’attente), 1800 elo est abordable pour plus de la moitié des joueurs actuels.
    Jouer de blitz 10′ ne fait pas jouer le même jeu que du blitz 20′ ou plus.
    Trop de blitz 5′ tue son jeu en 1h/2h.
    Trop de jeu en longue partie tue son jeu tactique.
    A chacun de s’avancer sur chaque tableau.
    Le secret est ce qui donne envie : soi, sa motivation, les heures qui ne sont pas comptées et passent très vite

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  2. Philippe

     /  27 février 2019

    Bonjour,
    Dans l’article ‘The 10 biggest roadblocks to improvement ‘, la traduction du point 10 est à revoir : F+C=6.5, et T+P=6. Dommage, car le site est super.

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    • F+C=3,25+3,25=6,5.
      T+P=5+1=6

      On tombe bien sur ce résultat ?

      « Oubliez les valeurs usuelles des pièces. Retenez que la dame vaut 9,75 pions, la tour 5 pions, le cavalier et le fou valent 3,25 pions, et que la possession de la paire de fous (quand l’adversaire l’a perdue) vaut 0,5 pions. Avec ce calcul on se rend compte qu’un fou et un cavalier ne valent pas une tour et un pion. Pensez qu’un roi a une valeur combattante de 4 pions. Ne pas l’impliquer dans une finale serait une grave erreur. Négliger ces valeurs peut vous couter 50-100 points elo. »

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